Lycée Ermesinde

Lycée public autonome à plein temps

Stäerkte viru Schwächten

Lycée Ermesinde

Lycée public autonome à plein temps

Stäerkte viru Schwächten

Le mot du directeur : Examen de fin d’études secondaires

Examen de fin d’études au LEM : 93% réussite, 27% « excellent », 29% « très bien », 25% « bien »

La réussite d’une école ne se limite certainement pas à l’examen de fin d’études. Les élèves du lycée Ermesinde ont certainement d’autres atouts à faire valoir à l’université et dans la vie professionnelle et sociale. D’un autre côté, le lycée Ermesinde a toujours considéré le BAC national comme un passage et un ticket utile et nécessaire pour entrer sans problème à l’université. C’est pourquoi il avait résisté à l’époque à l’envie de certains de voir un BAC novateur éclore au lycée Ermesinde.

 

Les résultats de cette année sont sans appel : le lycée Ermesinde compte bel et bien parmi les lycées les plus performants du Luxembourg. Notre réussite s’élève à 93%, contre 85% au niveau national. Mais c’est surtout du côté des mentions que le lycée Ermesinde fait la différence : 27% de mentions « excellent » (plus de 52 de moyenne sur 60) contre 11% au niveau national, auxquels s’ajoutent 29% de « très bien » et 25% de « bien ».

Pour une école axée sur les forces, l’orientation et l’excellence, le contrat est rempli.

 

En fin de compte, les élèves sortent du lycée Ermesinde dotés d’une expérience de 6 ans en recherche (travaux personnels et mémoires), d’une expérience de 7 ans en entreprise (8 heures par semaine) et d’un résultat au BAC supérieure à la moyenne nationale.

Le lycée Ermesinde a tendance à exiger davantage de ses élèves que les autres lycées, à commencer par leur domaine d’excellence.

D’un autre côté, il commence sa préparation explicite au BAC en classe de 2e seulement.

Durant les 5 années précédentes, il n’est pas promotionnel, il n’opère pas avec des notes, pas avec des moyennes, pas avec des devoirs en classe standardisés, pas avec des programmes prédéfinis et avec moins de cours.

Et pourtant le système national continue à croire à la numérisation et à la quantification dans tous les domaines, car il continue à investir dans les critères, dans les programmes et dans toutes sortes de testings.